Ne manquez pas cet article paru dans La Montagne de ce jour ou allez sur ce lien :
http://www.lamontagne.fr/vie-locale/puy-de-dome/63200/riom.html
Mais enfin, qui fait sécher cette ribambelle de soutien-gorges devant le marché? Bon sang, mais c'est la Marche Rose aujourd'hui!
En ce dimanche de brouillard et de froid, les courageux ont choisi le parcours de 12 km qui menait au bourg de Saint Bonnet où un buffet animé les attendait au Gamounet. Les derniers seront de retour vers 13 heures avec le sourire. Les autres, moins aventureux, suivront notre vénérée Présidente pour un tour du patrimoine de Riom et notamment de certaines cours privées en suivant une fanfare "réchauffante". Les Gaperons Rouges chantaient rue Albert Evaux, Klezmer Minibus dans une cour rue de la Caisse d'Epargne étonnant les passants.
Tout le monde s'est retrouvé sous la halle du marché pour un en-cas revigorant. La Pena Baïona ou une valse klezmer ont ravi les participants. Merci aux organisateurs pour cet excellent moment de solidarité.
Bonjour,
Le Pays d'art et d'histoire est heureux de vous présenter 2 nouvelles brochures fraîchement éditées sous l'appellation FOCUS.
La première, FOCUS RIOM s’inspire de la plaquette Riom Ville d’art et d’histoire parue en 1991 et depuis longtemps épuisée. Le texte a été entièrement revu et enrichi.
Cette brochure reprend les trois expositions visibles à la tour de l’Horloge et apporte un éclairage historique et un complément au Parcours Riom. Grâce à un texte simple et synthétique elle vous offre l’opportunité de cheminer à travers l’histoire et le patrimoine de Riom.
La deuxième FOCUS LA PLACE DE LA FÉDÉRATION À RIOM retrace l'histoirque de cet espace animé lors du marché hebdomadaire du samedi matin et des deux foires annuelles de la Saint-Amable, mais aussi grâce aux initiatives du réseau associatif local hébergé à la Maison des associations, aux visiteurs de l’office de tourisme et aux établissements scolaires situés à proximité.
C'est par l'entremise d'une de nos membres que nous avons pu visiter le château de Tournoël dans des conditions remarquables, elle doit en être remerciée mille fois pour cet après-midi de pur plaisir.
Réunir dans notre association plus de 60 personnes pour une visite est rare. Compter dans nos rangs un pourcentage significatif d'enfants l'est encore plus. Merci également à notre chère présidente, redevenue la prof d'histoire de Volvic pour avoir mené la visite des plus jeunes. On comptait même quelques jeunes couples, public assez inhabituel qu'on s'accoutumerait volontiers à revoir.
Etre accueilli par Me Claude Aguttes, propriétaire des lieux, est un honneur, profiter de sa faconde et de son humour au service de la connaissance des lieux est un privilège dont nous avons bénéficié. Nous sommes donc passés de l'architecture médiévale à l'histoire des familles qui ont occupé ce château et au passionnant roman au cours duquel, à la sortie d'un dîner entre amis, un homme se retrouve propriétaire d'une forteresse médiévale et entreprend de la restaurer.
La qualité de la restauration est étonnante pour ceux qui ont connu les ruines de l'endroit. Les bâtiments ont ressurgi (avec parfois des péripéties fiscales!), les murs enduits à la chaux ont été recouverts de peintures du meilleur goût. Les sols ont retrouvé des pavages dignes, enfin, l'endroit est devenu habitable.
Nous devons ensuite faire notre ronde sur la tour carrée et le chemin de ronde afin de surveiller les ravins alentour. Le regroupement de toute la troupe se fera dans la cour d'honneur.
La troupe toute entière a été ravie de cette visite et a applaudi notre hôte avec une énergie comparable à celle qu'il avait mise à expliquer sa demeure.
Marie-Josée Linou a donné samedi 15 octobre une causerie sur les trois grandes vies du Musée Mandet.
Cet hôtel Dufraisse de 1707 est devenu musée en 1866 par l'action de Francisque Mandet. A la tête de la société du Musée, il a réuni avec ses membres de nombreuses oeuvres à l'attribution parfois approximative (mais prestigieuse). Dans le goût de l'époque, ces oeuvres étaient exposées en rangs serrés sur le moindre morceau de mur disponible. Alphonse Cormet décorera les plafonds et fournira nombre d'oeuvres dont le célèbre (à Riom) Défilé des gueux. A la mort de Francique Mandet, en 1885, c'est Etienne Clémentel qui reprendra le flambeau. Il permettra lui aussi de nombreuses acquisitions.
La deuxième vie de notre cher musée commence avec l'apport de la donation Richard en 1984 et l'agrandissement par l'adjonction de l'hôtel Desaix. Le fond d'orfèvrerie est particulièrement riche et ouvrira vers l'avenir.
Arrivée en 1987, Marie-Josée Linou souhaite introduire l'art contemporain dans la maison. Le souci de continuer la collection d'orfèvrerie des Richard orientera vers l'orfèvrerie contemporaine et le design.
Les expositions se succèdent et donnent lieu à des achats d'oeuvres qui viennent enrichir la collection. Le tout premier est Goudji dont c'est la première exposition dans un musée. Une oeuvre sera acheté pour le musée par Mme Richard. S'ensuivront Christophe, Garouste et Bonetti, Heiligenstein, Sèvres (...) Nicky de Saint-Phalle...en 2010, le musée est réaménagé avec une galerie consacrée à l'orfèvrerie, une entrée et une cour remaniées par Hélène Mugot.
En 2013, une oeuvre de Géraldine Gonzalez va devenir le symbole de notre musée moderne.
"Ceci n'est pas une chaise" que l'on aperçoit depuis le porche et se reflète à l'infini dans les trumeaux du salon d'honneur fait réagir chacun et, notablement, les 8000 enfants qui franchissent l'entrée chaque année.
Les Amis des Musées sont heureux de participer à l'animation via les concerts et les manifestations, et espérons-le à l'avenir de cet établissement atypique.
Comment se définissent les collections d’un musée ?
Pourquoi et comment les trouve-t-on dans ce lieu et pas dans un autre ?
Pourquoi et comment évoluent-elles ?
Cette conférence se propose de retracer l’histoire du musée Mandet,
en mettant l’accent sur les principales étapes de son « existence », de 1866 à aujourd’hui.